Au delà de mes fantasmes en Guadeloupe j’ai pris très cher

Catégories : Gang bang Interracial FANTASME Femmes soumises sexuelles
il y a 6 ans

Nous rentrons de Guadeloupe où j’ai vécu l’enfer. Ce voyage avait pour but de nous rapprocher et de sauver notre couple, cela n’a pas fonctionné. Disputes après disputes, nous avons décidé de passer nos vacances chacun de son côté en utilisant la chambre d’hôtel comme des colocataires.

Furieuse et déçue, j’ai arpenté les paillotes et picolé avec l’idée de me venger, de le faire cocu. L’hôtel se situant pas loin de la D6, il y a un site aménagé appelé 'les 3 pointes' avec quelques paillotes et surtout pleins de coins discrets dans les rochers. Il s’y passe des choses si vous voyez ce que je veux dire. Je suis allée voir de plus près, cela m’a excitée, pas assez pour que je tente une aventure éclair, j’avais un peu peur. Alors j’ai encore picolé. Le barman, un beau black baraqué m’a draguée, je me suis dit qu’il ne fallait pas louper l’opportunité de concrétiser mon projet.

Installée en bout de comptoir, je pouvais voir son corps de la tête aux pieds, quand, entre deux clients il venait me voir, je l’allumais ou plutôt, je déraillais. Le Ti Punch là bas, il démonte et fait perdre toute réserve. J’ai touché par surprise le devant de son short, il a poussé ma main en me disant d’attendre qu’il ait finit son service pour ça. Complètement allumée, je lui ai dit qu’il pouvait demander de l’aide à un ami s’il avait peur de ne pas assurer. Voilà à peu près nos échanges, vous allez voir si j’étais allumée.....

  • Tu ne devrais pas jouer à ce jeu là, cela risque d’être trop chaud pour toi. Après tu vas me faire le coup de la sainte ni touche c’est ça ?

  • Ben vous n’aurez qu’à m’attacher, comme ça, je ne pourrai pas fuir.

  • Je crois que tu devrais arrêter le Ti Punch tu t’aventures sur un terrain glissant !

  • Qu’est-ce tu crois, que deux bites de black ça m’affole ?

  • La gazelle a des fantasmes à réaliser ? Elle a envie de se faire attacher et démonter ?

  • J’adore ça mais j’ai peur qu’à deux vous n’arriviez pas à me satisfaire ......

  • Tu me cherches grave toi, tien, le temps que je serve les clients qui attendent, écrit-moi que tu veux te faire attacher et défoncer par des blacks sur ce petit carnet. Si tu l’écrits, je t’organise ça mais je doute que tu assumes tes délires.

  • Offre moi encore un Ti Punch et je te l’écris !

...............

Ce que je viens d’écrire comme dialogue, c’est à peu près ce qu’il a été dit, enfin, de ce que je me souviens mais j’ai du dire plus de bêtises que ça car quand je suis bourrée, mes délires vont loin...... Trop loin.

Quand il a eu fini son service vers dix-huit heures, nous avons quitté la paillote, je titubais un peu mais ça allait. Nous sommes allés dans les petites rues du Vieux Fort où il m’a invitée à entrer dans une sorte de garage où il y avait un matelas par terre. Pas terrible comme décors en y réfléchissant mais dans l’état où j’étais...... Et là, il a commencé à m’embrasser, à me toucher les seins. Quand sa main s’est insinuée sous ma robe, j’ai écarté les cuisses comme une salope. J’avais trop envie, cela faisait trop longtemps que j’attendais ce moment en fantasmant. Ses doigts ont commencé à me fouiller, la tête en arrière je savourais ses attouchements coquins. Il m’a mise nue, ce qui fut rapide je n’avais que ma robe et un string, puis m’a poussée vers le sol pour que je m’occupe de lui.

Il se laissait faire sans bouger. En baissant son short et son caleçon, je l’ai vue bondir vers moi. Elle était de bonne taille avec un gros gland décalotté, presque menaçant. Sans aucune hésitation, mes doigts se sont enroulés autour et ma bouche s’est mise à l’oeuvre, elle avait faim de lui. Elle n’arrivait pas à la prendre entière et peinait à cause du diamètre imposant. J’allais m’éclater et réaliser mon rêve : me faire défoncer par un beau black.

Son mobile a sonné, il m’a arrêtée le temps d’envoyer un petit texto. Il a ensuite attrapé son sac à dos et m’a demandée de me lever puis de mettre mes mains dans le dos. Quand il a posé des bracelets à mes poignets, je me suis dit « cette fois ma belle tu vas y passer ». Prestement poussée vers le matelas, je me suis retrouvée à genoux la tête posée sur la toile pleine de poussière et avec les fesses en l’air. J’avais hâte d’être sa chose, son jouet, de me faire défoncer et de jouir. Etant monstrueusement excitée et sans réserve à cause des Ti Punchs, quand il m’a prise, malgré sa taille c’est entré presque tout seul en moi. J’étais distendue, pleine de lui, c’était bon de me sentir envahie par un sexe de cette taille, celle de mon premier black.

Quand il a commencé à me bourrer j’ai crié qu’il était trop long, qu’il me faisait mal au fond. Il n’a rien changé, il a continué comme il voulait en attrapant mes cheveux pour m’empêcher de le fuir. Concentrée sur ce que je ressentais et ce qu’il m’arrivait, je n’ai même pas vu ni entendu arriver les deux autres blacks. C’est quand l’un d’eux a dit « ouvre la bouche salope » que je les ai vus. Une bite monstrueuse était devant mes lèvres. Ma bouche grande ouverte peinait à le prendre, c’est là que j’ai commencé à avoir peur, à me dire que j’avais déconné.

Sous les coups de butoir du serveur, j’ai commencé à prendre du plaisir, ma chatte s’habituait à ce « gros volume », ma tête tournait, les Ti Punchs et la défonce me faisaient perdre pieds. Je ne savais plus si c’était bon ou si cela faisait mal, c’était confus. Ils m’ont mise sur le dos, le serveur et un autre black ont tiré mes jambes en arrière pour m’offrir à « Momo » la bite d’âne qui venait de défoncer mes mâchoires. J’ai dit « non pas lui il est trop gros » ils ont rigolé de ma peur, de mes cris. Momo s’est agenouillé et a posé son monstre à l’entrée de mon petit chaton. Il n’est pas très long mais en largeur il est comme une canette de coca ! Avec douceur il a commencé à me prendre, j’étais horriblement distendue, cela me faisait un peut mal, ils m’ont dit que dans un moment j’apprécierai et que j’en voudrai encore.

Quand il eut fini de « se loger » en moi, les deux blacks ont lâché mes jambes, Momo s’est allongé sur moi, j’ai disparu sous une montagne de chair noire et musclée sentant un peu la transpiration. Et là, il s’est mis à me baiser grave comme un marteau piqueur. Chaque coup de bite m’arrachait un cri, me donnait l’impression d’être totalement pleine, me rendait folle. J’ai fini par perdre totalement la tête et jouir comme une perdue assez rapidement. Momo ne s’arrêtait jamais, c’était à la fois grisant, troublant, perturbant, je n’étais vraiment plus qu’un pantin de chair soumis au plaisir sans discontinuer. J’ai compris le sens de l’expression « n’être plus qu’un trou » quand il s’est retiré pour que le troisième black prenne sa place. En même temps, paradoxalement j’étais heureuse et honteuse mais c’était tellement bon que je ne leur ai jamais demandé d’arrêter.

Quand ils m’ont relevée et mise debout en m’attrapant les jambes comme pour faire de moi un hamac, entre ces montagnes de muscles, je ne pouvais pas être plus offerte. Au moment où ils ont lubrifié mon anus, j’ai hurlé « non pas là » mais c’était bien trop tard pour penser qu’ils pourraient aussi avoir envie de me sodomiser. C’est le serveur qui a commencé à me perforer. J’avais beau le supplier, il n’écoutait pas et s’acharnait à faire entrer son sexe en moi. J’avais mal, très mal pendant qu’il me distendait l’anus avec son gros gland. Bloquée en l’air entre leurs bras, je ne pouvais rien faire pour me soustraire à ce trait de feu qui a fini par s’enfoncer dans le creux de mes reins. Il m’a fallu longtemps pour parvenir à me décontracter, à arrêter de souffrir pendant cette sodomie et l’explosion de mon popotin.

  • J’ai fait la place, elle est à vous. Pensez à me ramener les bracelets quand vous aurez fini. Leur a dit le serveur après avoir joui dans mon fondement ravagé.

Déposée sur le matelas, j’étais une véritable loque vidée de toute énergie. Je n’ai même pas eu le courage de me révolter quand Momo c’est attaqué à mon cul déjà défoncé. Au début j’ai cru mourir quand il m’a écartelée le fion, je me suis vue déchirée et handicapée à vie. Il y est arrivé ! Il est arrivé à entrer sa bite d’âne dans mes fesses. Le pire c’est qu’après la douleur, soit passée, j’ai encore joui quand il me ravageait. Quand il s’est retiré, mon anus continuait de palpiter !!!!!!!! Le grand black n’a pas voulu de mon cul il ne l’intéressait pas, il voulait me baiser simplement sans les bracelets. Etendu sur moi, il s’est vidé les couilles rapidement en me traitant de bonne salope. J’ai cru que cela était enfin terminé mais non, un quatrième était arrivé. Dans l’état physique et psychologique où j’étais, il ne m’est même pas venu à l’idée d’essayer de refuser. La loque humaine a encore était prise par un long à jouir. Il n’en finissait pas, il me tournait dans tous les sens, puis m’a fait quelque chose d’inouï. Il m’a obligée à me lever, à mettre mes bras autour de son cou puis il m’a soulevée pour m’embrocher. Les jambes maintenues à sa taille, je rebondissais sous ses coups de reins.

Musculator m’a défoncée la chatte puis le cul comme ça jusqu’à sa jouissance qui mit beaucoup de temps à venir. Quand il m’a étendue sur le matelas pour dévorer ma bouche, je la lui ai donnée sans même réfléchir. Vidée de toute énergie, à l’état de légume, c’est une poupée qu’il a rhabillée avant de l’emmener chez lui sur son épaule. Déposée sur un lit, je n’avais plus qu’une envie : dormir.

.........................

Lorsqu’il est venu me réveiller avec un café, il faisait déjà très chaud dans son petit appartement. J’ai alors pris conscience que j’avais découché et que mon mari devait se faire du souci. En même temps je me suis dit « fini pour fini » au moins je me serais éclatée avant le divorce. En fait, et là je vais paraître vulgaire, l’expression « je ME suis faite éclater » serait plus adaptée car marcher et aller aux toilettes fut difficile, j’avais mal partout.

Dan, que j’appelle Musculator, est celui qui m’a accueillie chez lui après mes folies. J’ai passé le reste de mes vacances avec lui mais il n’a pas pu me faire l’amour de suite, même gourmands mes orifices ne pouvaient plus rien supporter.

La procédure de divorce est lancée, je retourne en Guadeloupe pour vivre avec lui, mais cette fois je ferai attention au Ti Punch, quoi que..... soumise sexuelle en Guadeloupe c’est pas mal....

Ecrivaillon

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